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Critique de Davalian


Des cachots du Vatican à une époustouflante scène d'action finale, ce huitième opus de la saga du Scorpion n'en finit pas de surprendre son lecteur par un lot de surprises, toutes plus inattendues les unes que les autres. Après un scénario quelque peu soporifique au cours des derniers tomes, voilà que l'histoire se réveille d'un coup.
Armando, Méjaï, Cosimo, Nelio, Marie-Ange, toutes les personnages les plus importants sont impliqués au sein d'une toile magistrale, toute faite d'intrigues, de mensonges, de retournements de situations. Tous visent les Scorpion ? Va-t-il s'en tirer ? le doute est constant… le jeu de dupes est d'autant plus intéressant qu'il est plus politique que personnel. Assurément un très bon album !
Le scénario de Desberg est porté par le talent de Marini. Que dire ? Égal à lui-même, comprendre par là qu'il se surpasse constamment ? Un euphémisme facile, mais ô combien mérité.
Sans conteste l'un des meilleurs albums de la série. Les différents thèmes laissent entendre que le dénouement s'approche à grand pas. Si les auteurs poursuivent sur ce thème, celui-ci promet d'être grandiose. Un chef d'oeuvre en devenir ? L'espoir est permis....
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