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Critique de beatriceferon


Mars 1963, Université de l'UCLA, à Los Angeles. Viktor Scott s'échappe du musée qu'elle vient de cambrioler pour tomber sur Jordan Clegg, qui l'attendait à l'arrière. Pourtant, au lieu de l'arrêter, le policier la laisse filer et c'est à Ariel Samson, son collègue et rival, qu'il passe les menottes.
Ce quatrième tome commence comme le premier, mais au lieu de plonger dans le passé, cette fois, il poursuit l'aventure, après le dénouement de cette horrible affaire de tueur de Miss.
En deuxième de couverture, on remarque les mêmes photos des années 60, mêlant scènes de la vie quotidienne et personnalités de l'époque. Sinon que Marilyn a été remplacée par Elvis. C'est le symbole (à mon avis) du changement de point de vue. Trois volets centrés sur Viktor alors que le personnage principal de celui-ci est Clegg.
Mais si, tout au long du chapitre précédent, il s'est montré en héros, en sauveur de Miss octobre, en père attentionné, en mari bafoué par son collègue, ce quatrième épisode met en avant un tout autre aspect de sa personnalité, bien moins flatteur.
Les auteurs jouent énormément sur l'alternance présent/passé. Des vignettes, des pages entières, parfois, dans les ton gris, rouge, sépia, nous renvoient à des scènes anciennes. Il y en a que nous connaissons déjà et d'autres viennent combler les lacunes des tomes précédents.
Je suis d'accord avec certaines critiques que j'ai lues. Cet album est l'épisode de trop. Il m'a beaucoup moins plu que les autres. le titre anglais « Last night » laisse entendre que c'est terminé et même si ce n'est pas le cas, pour ma part, je m'arrêterai là.
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