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Critique de Nanooxx
Je souhaite en premier lieu, remercier "Babelio "et les éditions "Les3colonnes" pour l'envoi de ce livre que j'ai gagné lors de la masse critique de février.
En lisant la 4e de couverture de ce livre, je n'avais pas idée de la maladie qui était traité à l'intérieur. En lisant les premières lignes, je comprend et là c'est le choc. Celui-ci traite de la maladie de Charcot. Maladie qui m'a pris ma grand-mère il y a 4 mois.
La première chose que je me suis demandée, suis-je prête à le lire?
Mon deuil aujourd'hui n'est pas fait. J'ai eu peur de le lire, peur que ce soit trop difficile, peur de ne pas réussir à le lire et le chroniquer dans le temps imparti.
J'ai commencé à le lire petit à petit jusqu'au milieu car j'étais vraiment dans la crainte mais j'ai fini par le lire d'une traite, il y a 2 jours.
Ce livre m'a touché, bouleversé. Nicolas Desbordes raconte l'histoire de son père Georges, de sa descente au enfer, de son combat, de sa colère, de ses interrogations face à cette maladie. Son histoire jusqu'à son départ définitif.
Cette maladie n'épargne pas la famille, sa femme, ses fils. J'aurais bien aimé en lire un peu plus sur leur ressenti mais cela n'était pas le but de ce livre.
L'écriture est fluide, les chapitres sont courts ce qui est plaisant et rend si l'on peut dire moins difficile la lecture. le titre choisi est très parlant et correspond très bien d'être prisonnier de son corps tout en ayant toute sa tête. Cette maladie est horrible, je ne la souhaite à personne.
Je suis sortie de cette lecture très émue, les dernières pages m'ont fait couler les larmes. Merci pour cette découverte.
En lisant la 4e de couverture de ce livre, je n'avais pas idée de la maladie qui était traité à l'intérieur. En lisant les premières lignes, je comprend et là c'est le choc. Celui-ci traite de la maladie de Charcot. Maladie qui m'a pris ma grand-mère il y a 4 mois.
La première chose que je me suis demandée, suis-je prête à le lire?
Mon deuil aujourd'hui n'est pas fait. J'ai eu peur de le lire, peur que ce soit trop difficile, peur de ne pas réussir à le lire et le chroniquer dans le temps imparti.
J'ai commencé à le lire petit à petit jusqu'au milieu car j'étais vraiment dans la crainte mais j'ai fini par le lire d'une traite, il y a 2 jours.
Ce livre m'a touché, bouleversé. Nicolas Desbordes raconte l'histoire de son père Georges, de sa descente au enfer, de son combat, de sa colère, de ses interrogations face à cette maladie. Son histoire jusqu'à son départ définitif.
Cette maladie n'épargne pas la famille, sa femme, ses fils. J'aurais bien aimé en lire un peu plus sur leur ressenti mais cela n'était pas le but de ce livre.
L'écriture est fluide, les chapitres sont courts ce qui est plaisant et rend si l'on peut dire moins difficile la lecture. le titre choisi est très parlant et correspond très bien d'être prisonnier de son corps tout en ayant toute sa tête. Cette maladie est horrible, je ne la souhaite à personne.
Je suis sortie de cette lecture très émue, les dernières pages m'ont fait couler les larmes. Merci pour cette découverte.
