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Critique de Annelodie
« C'est si bon d'être mauvais ». Cette phrase m'a tout de suite convaincue d'acheter et de lire ce livre d'autant plus qu'il est dans la collection R de Robert Laffont et que je n'ai jamais été déçue, enfin jusqu'à ce livre… Je n'ai pas vraiment compris le but de ce livre ni où voulait en venir l'auteur…
Kaleb se découvre empathe du jour au lendemain et doit continuer à poursuivre sa vie malgré ce don qui peut parfois être une vraie malédiction. On suit son personnage d'un bout à l'autre du roman et la promesse qui est fait sur la quatrième de couverture : « être dans la peau du méchant » n'est pas tout à fait réalisée. Certes on suit les agissements et les pensées de Kaleb découvrant qu'il peut vraiment faire le mal autour de lui mais j'ai eu du mal à accrocher avec son personnage. Il est tiraillé entre le bien et le mal mais je trouve que la plume de l'auteur ne permet pas réellement de se prendre au jeu.
Dans ce roman, il y a très peu de personnages et c'est peut-être ce qui m'a empêchée d'apprécier l'histoire étant donné que je n'ai pas aimé Kaleb et qu'il n'y avait pas d'autre personnage pour le rattraper… Je n'ai pas aimé non plus le colonel qui réduit son assistante en esclave et fait passer cette femme pour une moins que rien.
En revanche, j'ai bien aimé l'histoire des jumeaux du 17ème siècle. J'ai trouvé que cela amené un vrai plus et le rebondissement final était particulièrement intéressant comparé aux autres rebondissements du récit qui étaient prévisibles.
En bref, j'ai moyennement apprécié ma lecture. le personnage principal est difficile à cerner et la narration ne permet pas d'accrocher à son caractère. Un seul rebondissement est intéressant, la révélation finale, ce qui va me pousser à lire la suite. J'espère qu'il y aura beaucoup de changements dans ce tome 2…
Lien : https://anneelodielectures.w..
Kaleb se découvre empathe du jour au lendemain et doit continuer à poursuivre sa vie malgré ce don qui peut parfois être une vraie malédiction. On suit son personnage d'un bout à l'autre du roman et la promesse qui est fait sur la quatrième de couverture : « être dans la peau du méchant » n'est pas tout à fait réalisée. Certes on suit les agissements et les pensées de Kaleb découvrant qu'il peut vraiment faire le mal autour de lui mais j'ai eu du mal à accrocher avec son personnage. Il est tiraillé entre le bien et le mal mais je trouve que la plume de l'auteur ne permet pas réellement de se prendre au jeu.
Dans ce roman, il y a très peu de personnages et c'est peut-être ce qui m'a empêchée d'apprécier l'histoire étant donné que je n'ai pas aimé Kaleb et qu'il n'y avait pas d'autre personnage pour le rattraper… Je n'ai pas aimé non plus le colonel qui réduit son assistante en esclave et fait passer cette femme pour une moins que rien.
En revanche, j'ai bien aimé l'histoire des jumeaux du 17ème siècle. J'ai trouvé que cela amené un vrai plus et le rebondissement final était particulièrement intéressant comparé aux autres rebondissements du récit qui étaient prévisibles.
En bref, j'ai moyennement apprécié ma lecture. le personnage principal est difficile à cerner et la narration ne permet pas d'accrocher à son caractère. Un seul rebondissement est intéressant, la révélation finale, ce qui va me pousser à lire la suite. J'espère qu'il y aura beaucoup de changements dans ce tome 2…
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