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Critique de Bubu-le-bourguignon
Après le succès et la demande du public d'un éventuel second tome, Thierry Desseux s'est replongé dans les archives départementales de la Nièvre.
Cette fois ci, il nous a concocté un second tome très proche du premier ouvrage. Mais, vers le milieu du livre, il nous surprend avec une histoire absolument incroyable et qui fait appel à d'autres émotions.
En 1792, le comité de salut public arrête 61 membres du clergé pour collusion avec l'ennemi, défaut de serment auprès de la Convention, etc.... Tous ces prêtres, abbés et simple curés avaient le défaut d'être des représentants de la religion en place. Ces hommes ont été méprisés, violentés et abusés. Leurs bontés et leurs croyances bafoués par des hommes publics et politiques sans vergogne qui n'ont pas hésité à voler les maigres biens d'hommes d'église. Tous les religieux, sans exceptions, ont été jugés et condamnés à être déportés en Guyanne. le transfert Nevers-Brest, c'est fait en parti sur la Loire. le voyage s'est déroulé dans d'atroces conditions : pas de nourriture, pas d'eau, aucune hygiène.... enfermés et traités comme du bétail.
A la fin du voyage, il ne restait plus que 14 religieux, qui sont retournés dans la Nièvre, sans haine, ni reproche.... avec toute leur piété originel.
Cette histoire est remplie d'émotions et nous fait partager l'horreur de la période de "La Terreur". En effet, les survivants le sont grâce aux changements politiques qui survient après l'arrestation de Robespierre et de son comité de Salut Public. Les ecclésiastiques, nous offrent une belle leçon d'humanité face à des hommes dont le profit et le mépris d'autrui, en période de troubles, sont sans limites.
Cette fois ci, il nous a concocté un second tome très proche du premier ouvrage. Mais, vers le milieu du livre, il nous surprend avec une histoire absolument incroyable et qui fait appel à d'autres émotions.
En 1792, le comité de salut public arrête 61 membres du clergé pour collusion avec l'ennemi, défaut de serment auprès de la Convention, etc.... Tous ces prêtres, abbés et simple curés avaient le défaut d'être des représentants de la religion en place. Ces hommes ont été méprisés, violentés et abusés. Leurs bontés et leurs croyances bafoués par des hommes publics et politiques sans vergogne qui n'ont pas hésité à voler les maigres biens d'hommes d'église. Tous les religieux, sans exceptions, ont été jugés et condamnés à être déportés en Guyanne. le transfert Nevers-Brest, c'est fait en parti sur la Loire. le voyage s'est déroulé dans d'atroces conditions : pas de nourriture, pas d'eau, aucune hygiène.... enfermés et traités comme du bétail.
A la fin du voyage, il ne restait plus que 14 religieux, qui sont retournés dans la Nièvre, sans haine, ni reproche.... avec toute leur piété originel.
Cette histoire est remplie d'émotions et nous fait partager l'horreur de la période de "La Terreur". En effet, les survivants le sont grâce aux changements politiques qui survient après l'arrestation de Robespierre et de son comité de Salut Public. Les ecclésiastiques, nous offrent une belle leçon d'humanité face à des hommes dont le profit et le mépris d'autrui, en période de troubles, sont sans limites.
