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Critique de Parthenia


Lors des funérailles de Tiasatré, la princesse Moutnedjemet, l'épouse de Khaemouaset, demande à Meresankh, que les rumeurs donnent pour maîtresse du prince, de quitter le cortège par respect pour elle.
Quelques jours plus tard, Kha, accompagné de son assistante Mery, ainsi que de Hori et Kheti, leurs fils respectifs, part dans le désert inspecter des tombes dans le but de les restaurer.
Kha et Mery jouent toujours au chat et à la souris mais Mery semble près de céder à l'amour du prince, touchée par la constance de ses sentiments (7 mois se sont écoulés depuis la mort d'Imeni).
Alors que Kha est entré seul dans la chambre funéraire pour y exécuter les rites d'apaisement, le campement est attaqué par des pillards bédouins, qui tuent les gardes et enlèvent Mery, son jeune fils Kheti, le prince Hori et les autres serviteurs...
Sans attendre les ordres du palais, Kha se lance sur la piste encore fraîches des ravisseurs !

Ramsès, ennuyé par l'initiative, irresponsable selon lui, de son fils, envoie Ramessou, le prince héritier, en qualité de diplomate à la cour de Babylone. Mission délicate s'il en est, car personne ne doit savoir qu'une dame noble ni qu'un prince royal risquent d'être vendus comme esclaves.

De son côté, Henout-Mi-Ré, la Grande Epouse-fille de Ramsès, envoie son espion Cobra (qui avait déjà apporté son aide dans le tome 2) prêter main forte à ses deux frères.

J'ai adoré ce tome, différent des autres car, d'une part, il nous éloigne de la belle et sensuelle Egypte pour nous entraîner dans l'étrangère et somptueuse Babylone, d'autre part, nous quittons le monde des enquêtes policières pour une aventure de traque et de diplomatie.
C'était palpitant de voir les personnages évoluer non seulement dans leurs sentiments mais également dans un environnement étranger où la protection de pharaon ne s'étend pas, les rendant tous vulnérables.
Encore une fois, les couleurs servent à merveille l'histoire : à dominante ocre, jaune et verte pour dépeindre les paysages égyptiens bordés par le Nil ou le désert, chatoyantes et colorées pour les vêtements ou les monuments babyloniens.
Bref, un vrai régal...
Lien : http://parthenia01.eklablog...
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