Commençons par la fin : le glossaire est indispensable pour goûter le sel de la chose.
En quinze tableaux,
Pierre Devaux nous brosse une histoire de l'ancien Testament qui tout en collant au récit "officiel" se permet de larges détours propices aux épanchements argotiques.Les femmes y occupent une place de choix : Esther, Suzanne par exemple, mais Noé et Tobie ou Daniel ne sont pas mal croqués non plus.
La description des personnages - située à la fin de l'ouvrage- ne manque pas de sel : peut-on dire qu'ainsi la vérité est rétablie ?
Pourquoi pas ?
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