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Critique de Bea33980
La récompense suprême, malgré les « prisons » qu'impose la société
Les prisons de Catherine, ce sont ces « prisons » que la société impose, au XIXe siècle, dans ce paysage rural.
Et lorsqu'on est pauvre et femme, on a encore moins le droit de dire ce que l'on pense, les droits sont foulés au pied et l'on doit se soumettre à l'autorité patriarcale, représentative de la condition des femmes au XIXe siècle.
Catherine, malgré de dures épreuves, malgré le qu'en-dira-t-on des gens qui jugent sans savoir, sans connaître – bien souvent parce qu'ils n'ont pas envie de se regarder en face et que trouver un bouc émissaire est plus facile –, va traverser la vie la tête haute, sans amertume envers ses semblables.
Et la vie va la récompenser par le plus beau cadeau qu'il soit donné de recevoir : l'Amour avec un grand A, le vrai, l'unique.
L'Amour, la résilience, qui caractérisent tous les romans de Monique Devez.
Lisez-le, vous en ressortirez grandi et reconnaissant envers la vie !
Lien : https://musiquedesmots.com/
Les prisons de Catherine, ce sont ces « prisons » que la société impose, au XIXe siècle, dans ce paysage rural.
Et lorsqu'on est pauvre et femme, on a encore moins le droit de dire ce que l'on pense, les droits sont foulés au pied et l'on doit se soumettre à l'autorité patriarcale, représentative de la condition des femmes au XIXe siècle.
Catherine, malgré de dures épreuves, malgré le qu'en-dira-t-on des gens qui jugent sans savoir, sans connaître – bien souvent parce qu'ils n'ont pas envie de se regarder en face et que trouver un bouc émissaire est plus facile –, va traverser la vie la tête haute, sans amertume envers ses semblables.
Et la vie va la récompenser par le plus beau cadeau qu'il soit donné de recevoir : l'Amour avec un grand A, le vrai, l'unique.
L'Amour, la résilience, qui caractérisent tous les romans de Monique Devez.
Lisez-le, vous en ressortirez grandi et reconnaissant envers la vie !
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