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Critique de youcantget
Le mot de l'éditeur (préface) :
"En poésie, comme entre les êtres, ce qui vaut d'être vécu commence souvent par une émotion. [...] Preuve que la poésie est bel bien, comme l'écrit la romancière originaire de l'île Maurice, un cadeau de la vie, un "miracle, l'antithèse des certitudes".
(plus loin) : "Une femme y dévoile sa mystérieuse évidence, sans que les mots perdent leurs sens cachés. Ils explorent le secret et l'intime, scrutent le monde visible et invisible, provoquent les frissons qu'ils suggèrent. Et cela même lorsque l'auteure évoque l'envie de poésie, la vie broyée d'un enfant soldat ou d'une jeune prostituée, la violence des rapports de domination, le sort fait aux femmes, la question toujours brulante de l'altérité. Entre douceur et incandescence, désir et solitude [...] elle nous livre une écriture à même la peau des passions et des démangeaisons humaines. Fine et profonde, comme elle, toujours à l'écoute de l'obscure promesse du monde".
C'est un court petit livre dont la couverture fait mal aux yeux (pointillés bleus sur fond rose foncé). Se lit très vite et appelle à y revenir, pour le plaisir des mots et des évocations.
"En poésie, comme entre les êtres, ce qui vaut d'être vécu commence souvent par une émotion. [...] Preuve que la poésie est bel bien, comme l'écrit la romancière originaire de l'île Maurice, un cadeau de la vie, un "miracle, l'antithèse des certitudes".
(plus loin) : "Une femme y dévoile sa mystérieuse évidence, sans que les mots perdent leurs sens cachés. Ils explorent le secret et l'intime, scrutent le monde visible et invisible, provoquent les frissons qu'ils suggèrent. Et cela même lorsque l'auteure évoque l'envie de poésie, la vie broyée d'un enfant soldat ou d'une jeune prostituée, la violence des rapports de domination, le sort fait aux femmes, la question toujours brulante de l'altérité. Entre douceur et incandescence, désir et solitude [...] elle nous livre une écriture à même la peau des passions et des démangeaisons humaines. Fine et profonde, comme elle, toujours à l'écoute de l'obscure promesse du monde".
C'est un court petit livre dont la couverture fait mal aux yeux (pointillés bleus sur fond rose foncé). Se lit très vite et appelle à y revenir, pour le plaisir des mots et des évocations.
