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Critique de Meygisan


Ce tome marque le début d'un nouveau cycle qui se terminera avec le suivant, et se démarque des précédents par son changement de ton. Celui ci est dû principalement à la présence d'Akio, ayant retrouvé ses esprits et sa personnalité, qui est loin de ce à quoi on pouvait s'attendre. Légèreté et flagorneries qualifient le personnage à merveille et c'est tout le récit qui en prend la couleur. Je ne suis pas certain d'apprécier le développement choisi par les auteurs pour ce personnage même si je reconnais qu'il apporte un trait d'humour à l'ensemble.
La légèreté est de mise également avec Takeo qui s'éprend d'une jeune servante, Sayuri, dont l'histoire en parallèle va jouer sur le récit principal.
Vous l'aurez compris, Jean François di Giorgio agrémente son récit d'histoires secondaires qui vont venir le soutenir ou en développer une partie. Cette écriture "en tiroir" ne me déplaît pas et permet ainsi d'enrichir l'histoire de base et d'attirer l'oeil sur un point particulier. Chaque histoire est indissociable de la principale, et les rebondissements finissent de les rendre attachantes.
L'intérêt réside tout de même dans le mystère qui entour Takeo et son frère, et dans ce tome, nous en apprenons un peu plus.
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