>
Critique de pam54
Shouna est né de façon étrange, par une nuit étrange, accueilli en roi par les animaux de la forêt.
L'histoire commence comme un conte, la naissance d'un enfant tant désiré, la joie d'une mère et la fierté d'un père. Mais les masques tombent et les personnages ne sont pas ce qu'ils semblaient être.
Puis viennent les doutes, le mépris et la trahison.
Qui doit-il croire, en qui peut-il avoir confiance ?
Quel chemin doit-il prendre : la voie du bien ou celle du mal ? Quelle est sa destinée ?
Plein de questions se bousculent, il devra trouver seul les réponses et sa quête le mènera à la frontière du monde des hommes et de celui des esprits.
D'après Amélie Diack il s'agit d'un roman écrit dans la pure tradition africaine. Je ne savais pas à quoi m'attendre et je dois dire que j'ai été agréablement surprise. On est rapidement happé par ce conte, on y découvre des us et coutumes et des mythes africains.
Le récit est envoûtant et on adhère au jeu de cette quête. C'est un doux mélange d'imaginaire et de poésie.
Le style est agréable à lire avec un vocabulaire assez riche, j'ai même découvert quelques nouveaux mots comme bacchanal et la daba.
Dans certains passages la description est un vrai régal, j'ai été sensible en particulier à la rencontre avec Mamie Wata où la plume de l'auteur, belle et poétique, illumine le récit.
On découvre également une très belle couverture qui est en totale harmonie avec le conte de Shouna.
Ce fut une belle lecture et il me tarde de lire la suite.
L'histoire commence comme un conte, la naissance d'un enfant tant désiré, la joie d'une mère et la fierté d'un père. Mais les masques tombent et les personnages ne sont pas ce qu'ils semblaient être.
Puis viennent les doutes, le mépris et la trahison.
Qui doit-il croire, en qui peut-il avoir confiance ?
Quel chemin doit-il prendre : la voie du bien ou celle du mal ? Quelle est sa destinée ?
Plein de questions se bousculent, il devra trouver seul les réponses et sa quête le mènera à la frontière du monde des hommes et de celui des esprits.
D'après Amélie Diack il s'agit d'un roman écrit dans la pure tradition africaine. Je ne savais pas à quoi m'attendre et je dois dire que j'ai été agréablement surprise. On est rapidement happé par ce conte, on y découvre des us et coutumes et des mythes africains.
Le récit est envoûtant et on adhère au jeu de cette quête. C'est un doux mélange d'imaginaire et de poésie.
Le style est agréable à lire avec un vocabulaire assez riche, j'ai même découvert quelques nouveaux mots comme bacchanal et la daba.
Dans certains passages la description est un vrai régal, j'ai été sensible en particulier à la rencontre avec Mamie Wata où la plume de l'auteur, belle et poétique, illumine le récit.
On découvre également une très belle couverture qui est en totale harmonie avec le conte de Shouna.
Ce fut une belle lecture et il me tarde de lire la suite.
