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Critique de CzarnyPies


"Le roi des étudiants" ne jouit pas de beaucoup d'estime. On ne le mentionne pas dans "L'histoire de la littérature québécoise" de Biron, Dumont et Nardout-Lafarge. Les Éditions 8 et Rémi Ferland mérite cinq étoiles pour l'effort de plaider la cause de ce roman qui est néanmoins vraiment minable. Je lui donne seulement deux étoiles.
"Le roi des étudiants" a le ton des Gay Nineties américain. Il m'a fait penser aux pièces de théatre auxquelles j'ai assisté comme adolescent au "Moonlight Meldodrama" de Thunder Bay. Rémi Ferland qui écrit l'introduction du livre voit plutôt l'influence des romanciers francais tels que Ponson de Terrail, Paul Féval et Alexandre. Ce qui est certain est "Le roi des étudiants" a pur but de divertir un public bourgeois. Ses ambitions littéraires sont nulles.
Le roman raconte les parcours de deux membres (Gustave Després et Paul Champfort) d'une gang d'étudiants ivrognes en médecine. La fin de leurs études s'approche et c'est le de se marier. Malheureusement, il y a vilain très noir qui veut voler la femme aimée de Paul. Gustave qui le chef de la bande des buveurs ou le roi vient à la rescousse de Paul. Il réussit à sauver le bonheur de Paul et à retrouver le sien.
L'intrigue qui inclut beaucoup d'épisodes qui se déroulent en Louisiane pendant la guerre civile américaine est parfaitement rocambolesque. le fait que j'ai très peu ri est possiblement une signe que je suis un vieux grincheux.
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