C'est à la page 160 que j'abandonne cette énigme.
Rien dans l'histoire ne me donne envie de savoir la suite, de découvrir ce qui s'est passée dans cette chambre 622. On ne sait même pas qui est mort !!
Et je trouve les personnages sans consistance, soit disant des hommes et femmes de la haute société genevoise, des banquiers d'établissements internationaux, qui discutent entre eux comme des personnages de mauvaise série B., qui élaborent des plans à deux balles !
Ce livre est pour moi d'une grande incohérence. Je trouve l'écriture de
Joël Dicker à la limite du supportable tant c'est banal et peu abouti.
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