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Critique de HeleneEtLesBouquins
[SERVICE PRESSE]
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L'innocence assassinée (épisode 1) de David_diez_auteur
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Je remercie mon partenaire Evasion éditions pour ce premier service presse.
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Mon résumé :
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1991, Berck, France. Des petites filles disparaissent puis sont retrouvées violées, assassinées et défigurées.
2011, Dean Arthur devient chef du service psychiatrie de l'hôpital puis prof d'anatomie.
2018, dénouement de l'affaire
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Dean Arthur voit sa mère tuer son beau-père, puis sa petite soeur. Loin d'avoir peur, le petit garçon est indifférent. La disparition de la gamine passe inaperçue. D'ailleurs, un tueur pédophile sévit dans les années 90, violant et tuant des petites filles. Au fil des années, Dean grandit en même temps que ses névroses. John Philips, alors jeune flic, met tout en oeuvre pour attraper ce cinglé.
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Mon ressenti final :
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Cette chronique risque d'être un peu plus concise que les autres, du fait de son format particulier, par tranche de plusieurs épisodes. Je vais tenter d'éviter les spoils
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L'épisode 1 se divise en deux parties. La première partie met l'histoire en place et je l'ai trouvée un peu longue et moins intense que ce que j'aurai aimé. Les protagonistes principaux nous sont dévoilés : Dean, sa mère Julia, John le flic et Giorgio, son coéquipier alcoolique. Les faits exposés sont certes assez flippants mais il me manque cette tension, habituellement palpable dans les romans du genre.
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Par contre, la partie deux fait monter la tension et nous dévoile des personnages complètement sociopathes. Les nerfs des protagonistes sont mis à rudes épreuves, les meurtriers se dévoilent et j'ai vraiment apprécié cette lecture. La mère de Dean est complètement névrosée, je l'ai trouvé vraiment très travaillée dans le rôle de la maman intrusive et exclusive. Dean est très bien dessiné, aussi cinglé que sa mère et je crois bien que c'est le personnage que j'ai préféré.
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L'écriture de l'auteur augmente en intensité au fur et à mesure des pages. Un gros travail de recherche en psychologie semble avoir été fait car la construction des personnages est plausible et efficace. J'adore voir Julia et Dean, persuadés que leur comportement est tout à normal, ils sont franchement cinglés. Nous sommes encore un peu dans le flou quant au pourquoi les meurtres ont lieu, mais en tout cas, je suis avertie que la suite risque de me plaire !
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L'innocence assassinée (épisode 1) de David_diez_auteur
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Je remercie mon partenaire Evasion éditions pour ce premier service presse.
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Mon résumé :
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1991, Berck, France. Des petites filles disparaissent puis sont retrouvées violées, assassinées et défigurées.
2011, Dean Arthur devient chef du service psychiatrie de l'hôpital puis prof d'anatomie.
2018, dénouement de l'affaire
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Dean Arthur voit sa mère tuer son beau-père, puis sa petite soeur. Loin d'avoir peur, le petit garçon est indifférent. La disparition de la gamine passe inaperçue. D'ailleurs, un tueur pédophile sévit dans les années 90, violant et tuant des petites filles. Au fil des années, Dean grandit en même temps que ses névroses. John Philips, alors jeune flic, met tout en oeuvre pour attraper ce cinglé.
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Mon ressenti final :
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Cette chronique risque d'être un peu plus concise que les autres, du fait de son format particulier, par tranche de plusieurs épisodes. Je vais tenter d'éviter les spoils
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L'épisode 1 se divise en deux parties. La première partie met l'histoire en place et je l'ai trouvée un peu longue et moins intense que ce que j'aurai aimé. Les protagonistes principaux nous sont dévoilés : Dean, sa mère Julia, John le flic et Giorgio, son coéquipier alcoolique. Les faits exposés sont certes assez flippants mais il me manque cette tension, habituellement palpable dans les romans du genre.
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Par contre, la partie deux fait monter la tension et nous dévoile des personnages complètement sociopathes. Les nerfs des protagonistes sont mis à rudes épreuves, les meurtriers se dévoilent et j'ai vraiment apprécié cette lecture. La mère de Dean est complètement névrosée, je l'ai trouvé vraiment très travaillée dans le rôle de la maman intrusive et exclusive. Dean est très bien dessiné, aussi cinglé que sa mère et je crois bien que c'est le personnage que j'ai préféré.
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L'écriture de l'auteur augmente en intensité au fur et à mesure des pages. Un gros travail de recherche en psychologie semble avoir été fait car la construction des personnages est plausible et efficace. J'adore voir Julia et Dean, persuadés que leur comportement est tout à normal, ils sont franchement cinglés. Nous sommes encore un peu dans le flou quant au pourquoi les meurtres ont lieu, mais en tout cas, je suis avertie que la suite risque de me plaire !
