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Critique de XS
Et voilà, nos protagonistes sont maintenant presque tous revenus sur Terre. Presque. Trois restent bloqués en orbite, leur retour s'avérant potentiellement mortel.
Victor Dixen renouvelle la structure de la narration, scandée dorénavant par les petites pastilles que chacun des personnages diffusent depuis leur chaîne internet.
Les intrigues s'entrecroisent : non plus prisonniers d'une diffusion de leur image par un tiers, les protagonistes doivent maintenant apprendre à gérer le pouvoir qu'ils détiennent par le biais d'une communication qu'ils pensent maîtriser.
Du suspens aussi : le retour sur terre sera-t-il possible pour tous ? Un peu de politique enfin : les gouvernements maîtrisent-ils vraiment la situation face à des groupes mafieux de plus en plus puissants ? Sauront-ils gérer les défis écologiques ? Et les sentiments de nos protagonistes, véritables montagnes russes qui relèvent du roman sentimental plus que du roman de science-fiction.
Ce tome final reprend la droite ligne des tomes précédents. J'y retrouve ce qui m'y avait plu, et également ce que j'avais moins aimé. Addictif mais sans doute pas inoubliable…
Victor Dixen renouvelle la structure de la narration, scandée dorénavant par les petites pastilles que chacun des personnages diffusent depuis leur chaîne internet.
Les intrigues s'entrecroisent : non plus prisonniers d'une diffusion de leur image par un tiers, les protagonistes doivent maintenant apprendre à gérer le pouvoir qu'ils détiennent par le biais d'une communication qu'ils pensent maîtriser.
Du suspens aussi : le retour sur terre sera-t-il possible pour tous ? Un peu de politique enfin : les gouvernements maîtrisent-ils vraiment la situation face à des groupes mafieux de plus en plus puissants ? Sauront-ils gérer les défis écologiques ? Et les sentiments de nos protagonistes, véritables montagnes russes qui relèvent du roman sentimental plus que du roman de science-fiction.
Ce tome final reprend la droite ligne des tomes précédents. J'y retrouve ce qui m'y avait plu, et également ce que j'avais moins aimé. Addictif mais sans doute pas inoubliable…
