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Critique de PharMarion


Camille,
Je ne ne peux plus t'en parler
Mais j'ai besoin d'en parler.
Alors je l'écris.
Pour les autres.

Désorientale...
Le titre est si beau qu'on a peur d'être déçu par la lecture.
Je n'ai pas été déçue par la lecture.
Et je sais ce qui t'as plu dans cette lecture :
Kimiâ
(Kimiâ, Kâmia, Kâmi, Camille ?)
Femme libre. Comme toi.
Femme désorientée. Comme toi ?
Peut-être que l'un ne va pas sans l'autre ?
Peut-être que la liberté, c'est de sortir des sentiers battus
et de prendre le risque de s'égarer...
Ou de créer un nouveau chemin.
Ecoutons la grand-mère de Kimiâ,
qui en parlera mieux que moi :
"On a la vie de ses risque mes chatons. Si on ne prend pas de risque, on subit, et si on subit on meure, ne serait-ce que d'ennui".
Tu es morte aussi,
mais certainement pas d'ennui.

L'autrice nous fait entrer dans l'exil et le besoin de résilience.
C'est également une ode à la maternité.
A la mère qu'on a ou qu'on a eu,
A la mère qu'on est ou qu'on sera,
A la mère qu'on ne sera jamais
(A la mère que tu ne seras jamais).
Camille, merci pour ce magnifique conseil lecture.
J'ai aimé te retrouver entre ces pages.
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