Je termine "
Le livre des feux".
Où il est question du feu grégeois sans vraiment élucider sa composition. On le saurait!
Quelle noirceur dans Londres du XIVè siècle: des mendiants, des coupe-jarrets, des invalides; sans compter les ordures qui parsèment les rues. de quoi perdre le fil de l'intrigue pour mieux nous la résumer dans les ultimes pages du romans.
Ces longues descriptions entrainent le lecteur dans un sentiment d'impuissance et d'inconnu, quitte à le perdre parfois, à détourner son attention, à repousser le mystère. Quitte à le lasser de ces redites.
Frère Athelstan ne s'en soucie guère outre mesure. Il est le témoin des évènements et seul compte sa tache, comprendre la situation et protéger, d'une certaine manière, ses ouailles.
La révélation finale et le raisonnement du frère vaut quand même d'aller jusqu'au bout de la lecture.
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