Si l'oppression de ces femmes africaines par les mâles dominants et brutaux, est magnifiquement décrite, j'ai été très dérangée par l'effet de rhétorique de l'auteur qui consiste pour le personnage principal, à écrire sa narration à la 2ème personne: "Au lieu de se taire, ton imbécile d'ex-mari, lève la main. Tu sais qu'il ne peut pas ne pas se donner en spectacle dès le moment où il voit ton ombre" de la première à la trois cent trentième page, ce qui m'a paru indigeste. Dommage que le style soit ainsi alourdi.
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