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Critique de RonanBreizh
A la fin de ce roman policier, Michaël Dor remercie tous ceux qui l'ont poussé à reprendre la plume. Je m'associe à ces remerciements tant j'ai retrouvé avec plaisir cette écriture fluide et soignée grâce à l'opération Masse critique et aux éditions Salvator.
Un prêtre détective à ses heures associé à un médecin libre-penseur et bon vivant : improbable attelage qui pourtant fonctionne très bien. Meurtre, trahison, sociétés ésotériques... il y a dans ce livre, tous les ingrédients d'une intrigue bien ficelée. Les personnages sont bien campés et on se laisse toucher par leurs pérégrinations et leurs combats.
Mais chez Michaël Dor, il y a toujours un au-delà. La critique de notre société déboussolée et bousculée par les vents d'une intériorité en déroute est forte. Les parallèles tracés entre les gourous modernes et ce que L Histoire a fait de pire sont saisissants et forcent la réflexion.
Cette histoire policière est aussi l'occasion pour l'auteur de nous interroger sur les ressorts de l'amitié, du pardon, de la rédemption... Un beau tissu d'humanité. On ne sort pas tout à fait identique de ce bouquin et c'est sa grande force.
Un prêtre détective à ses heures associé à un médecin libre-penseur et bon vivant : improbable attelage qui pourtant fonctionne très bien. Meurtre, trahison, sociétés ésotériques... il y a dans ce livre, tous les ingrédients d'une intrigue bien ficelée. Les personnages sont bien campés et on se laisse toucher par leurs pérégrinations et leurs combats.
Mais chez Michaël Dor, il y a toujours un au-delà. La critique de notre société déboussolée et bousculée par les vents d'une intériorité en déroute est forte. Les parallèles tracés entre les gourous modernes et ce que L Histoire a fait de pire sont saisissants et forcent la réflexion.
Cette histoire policière est aussi l'occasion pour l'auteur de nous interroger sur les ressorts de l'amitié, du pardon, de la rédemption... Un beau tissu d'humanité. On ne sort pas tout à fait identique de ce bouquin et c'est sa grande force.
