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Deuxième volume du cycle, cet ouvrage met un point final à l'intrigue. Qui veut quoi, qui est avec ou après qui, pourquoi l'un ou l'autre a ou va retourner sa veste. Complexe et entremêlée dans les premiers, nous découvrons ENFIN la motivation profonde des gens de la clinique, succursale des templiers.
Sous le masque d'une volonté d'affranchissement de la population, d'une liberté perdue à cause de ceux qui étaient là avant, les Templiers utilisent les gens, les manipulent, pour réussir à ouvrir l'esprit humain à leur mémoire génétique. Avoir accès aux souvenirs de nos ancêtres, à leurs expériences. Peu importe les moyens ou les actions tant qu'il y a du résultat, d'où cette accumulation de morts …
Un grand nombre de flash-back dans l'animus pour apprendre ce qui est arrivé à AAAA et les raisons de son passage du camp des assassins aux Templiers. Entre quête de connaissance et liberté d'existence, le combat perpétuel qui cisaille les deux camps n'a de cesse de revenir détruire les générations futures. En découvrant le passé, on ne fait qu'appercevoir l'actuel qui deviendra l'avenir. Un éternel recommencement, une guerre sans âge et sans fin.
Tomo, maître du numérique, Assassin grâce à l'effet de transfert, n'a plus qu'une volonté depuis que les Templiers ont assassinés sa mère. Se venger, détruire le mal à la racine, anéantir une bonne foi pour toute la menace ennemie. Il va pour cela utiliser l'orgueil de l'ennemi contre lui grâce à notre société ultra connectée et industrielle, le pouvoir et l'argent ne suffit plus, même s'il est très efficace. C'est la loi du plus fin, du plus intelligent.
Un beau final qui remet les pendules à l'heure et prend les gens à leur propre jeux. Une morale excellente sur la liberté humaine et ce qu'elle implique, les degrés dont elle se compose. Nos ancêtres ont mérités le repos, les ramener dans une autre époque n'est pas dans l'ordre naturel des choses. Cessons de jouer au Docteur Frankenstein, et vivons notre propre vie jusqu'au bout de ce qu'elle nous offre.
Lien : https://cenquellesalle.wordp..
Critique de ellenbooks
Deuxième volume du cycle, cet ouvrage met un point final à l'intrigue. Qui veut quoi, qui est avec ou après qui, pourquoi l'un ou l'autre a ou va retourner sa veste. Complexe et entremêlée dans les premiers, nous découvrons ENFIN la motivation profonde des gens de la clinique, succursale des templiers.
Sous le masque d'une volonté d'affranchissement de la population, d'une liberté perdue à cause de ceux qui étaient là avant, les Templiers utilisent les gens, les manipulent, pour réussir à ouvrir l'esprit humain à leur mémoire génétique. Avoir accès aux souvenirs de nos ancêtres, à leurs expériences. Peu importe les moyens ou les actions tant qu'il y a du résultat, d'où cette accumulation de morts …
Un grand nombre de flash-back dans l'animus pour apprendre ce qui est arrivé à AAAA et les raisons de son passage du camp des assassins aux Templiers. Entre quête de connaissance et liberté d'existence, le combat perpétuel qui cisaille les deux camps n'a de cesse de revenir détruire les générations futures. En découvrant le passé, on ne fait qu'appercevoir l'actuel qui deviendra l'avenir. Un éternel recommencement, une guerre sans âge et sans fin.
Tomo, maître du numérique, Assassin grâce à l'effet de transfert, n'a plus qu'une volonté depuis que les Templiers ont assassinés sa mère. Se venger, détruire le mal à la racine, anéantir une bonne foi pour toute la menace ennemie. Il va pour cela utiliser l'orgueil de l'ennemi contre lui grâce à notre société ultra connectée et industrielle, le pouvoir et l'argent ne suffit plus, même s'il est très efficace. C'est la loi du plus fin, du plus intelligent.
Un beau final qui remet les pendules à l'heure et prend les gens à leur propre jeux. Une morale excellente sur la liberté humaine et ce qu'elle implique, les degrés dont elle se compose. Nos ancêtres ont mérités le repos, les ramener dans une autre époque n'est pas dans l'ordre naturel des choses. Cessons de jouer au Docteur Frankenstein, et vivons notre propre vie jusqu'au bout de ce qu'elle nous offre.
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