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Critique de LoupAlunettes
Voici un genre Premier Roman très amusant.
L'auteure Emmanuelle Bergonnioux nous imagine les états d'âme d'une paire de "godasses", pour dire familièrement, et on en sourit facilement.
L'une est désordonnée, souvent délacée, l'autre est discrète et ne baille pas encore incorrectement à l'avant.
Leur propriétaire les aime bien, on le comprend bien à l'image et dans l'histoire, à les mettre souvent jusqu'à l'usure.
Nous voyons notre duo équipé pour la marche, supportant les efforts de pédales à vélo, les marches dans les feuillages ou la boue.
A cavaler ou grimper, à la fin de la journée, on est forcément crevé.
Partant de là, on ne voit pas bien d'autres destins pour une paire de chaussures.
Nous serions même convaincus qu'elles étaient au contraire ravies de bien servir.
L'auteure créera forcément la surprise, sinon il n'y aurait pas d'histoire.
Emmanuelle Bergonnioux trouvera ce qui pourra faire l'intérêt du lecteur: la complicité très spéciale de la paire.
Nous suivrons le rose aux joues un début de romance, les chausures une fois mises au placard et ensemble, le duo se fera même la belle par la chatière.
Très différente l'une de l'autre, mais aussi complémentaire, Berlingot et Vermicelle se prendront parfois la ficelle pour se mettre d'accord.
L'amitié, c'est aussi ça.
Berlingot et Vermicelle se sépareront dans la ville, hostile de camion-benne et de chiens errants, pour mieux se retrouver
Le parcours hors de la maison ne sera pas plat, le titre de poche vous promettra de l'action, suffisamment pour en avoir plein les pattes et réclamer un peu de réconfort auprès d'un être cher à la fin.
L'auteure Emmanuelle Bergonnioux nous imagine les états d'âme d'une paire de "godasses", pour dire familièrement, et on en sourit facilement.
L'une est désordonnée, souvent délacée, l'autre est discrète et ne baille pas encore incorrectement à l'avant.
Leur propriétaire les aime bien, on le comprend bien à l'image et dans l'histoire, à les mettre souvent jusqu'à l'usure.
Nous voyons notre duo équipé pour la marche, supportant les efforts de pédales à vélo, les marches dans les feuillages ou la boue.
A cavaler ou grimper, à la fin de la journée, on est forcément crevé.
Partant de là, on ne voit pas bien d'autres destins pour une paire de chaussures.
Nous serions même convaincus qu'elles étaient au contraire ravies de bien servir.
L'auteure créera forcément la surprise, sinon il n'y aurait pas d'histoire.
Emmanuelle Bergonnioux trouvera ce qui pourra faire l'intérêt du lecteur: la complicité très spéciale de la paire.
Nous suivrons le rose aux joues un début de romance, les chausures une fois mises au placard et ensemble, le duo se fera même la belle par la chatière.
Très différente l'une de l'autre, mais aussi complémentaire, Berlingot et Vermicelle se prendront parfois la ficelle pour se mettre d'accord.
L'amitié, c'est aussi ça.
Berlingot et Vermicelle se sépareront dans la ville, hostile de camion-benne et de chiens errants, pour mieux se retrouver
Le parcours hors de la maison ne sera pas plat, le titre de poche vous promettra de l'action, suffisamment pour en avoir plein les pattes et réclamer un peu de réconfort auprès d'un être cher à la fin.
