Ma relecture du canon holmésien a pris des allures de totale découverte grâce aux éditions Omnibus. Que de différences entre les traductions que j'ai lu dans le passé et cette belle édition bilingue ! Certes
Eric Wittersheim, le traducteur, a pris quelques libertés avec le texte original mais ça n'est rien comparé aux sabotages de certains de ces confères.
Le roman et les nouvelles contenus dans ce dernier tome ne sont pas mes préférés. Les histoires sont moins abouties, les ficelles sont plus grosses et le mystère confère parfois au ridicule (Le soldat blafard, La crinière de Lion, L'homme qui rampait).
Sherlock Holmes est moins actifs dans ces enquêtes, il n'enquête même pas du tout dans La Pensionnaire voilée.
Cependant, même si ces récits n'ont pas la saveur des précédents, j'ai pris grand plaisir à me retrouver au 221B Baker Street en compagnie de mon cher Holmes et du bon docteur Watson !
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