A la relecture de ce classique, une question subsiste. de quel monde perdu l'auteur nous fait-il les visiteurs ? Celui né de son imagination fertile ou celui de cette littérature qui nous invite au voyage d'une langue révolue ?
Il faut un coeur d'enfant pour se laisser saisir par cette histoire extraordinaire. Il faut un coeur d'homme pour se laisser saisir par la puissance des mots, leur subtile alchimie, leur nobles nuances.
Quelque soit le camp que nous ayons choisi, on reste longtemps encore après la dernière phrase de ce roman, égaré dans les brumes de ce pays perdu. Et c'est assurément jubilatoire !
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