AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de simoncailloux


Maria Doyle est irlandaise. Elle raconte son histoire depuis que sa maman Eileen, fille mère, l'a conçue, jusqu'à peu après ses vingt années de mariage. Sa maman la conçue alors qu'elle était follement amoureuse d'un marin espagnol de passage une semaine à Dundalk, ville portuaire du nord- est de l'Irlande ou elle habitait.

A l'âge de neuf an sa vue s'est mise à se troubler considérablement pour finalement rester aveugle à 95%. La médecine a détecté la maladie de Stargardt, maladie génétique contracté par père et mère porteurs sains du même gêne.

Maria a été placée dans un institut pour aveugle. Elle ne pouvait vivre, séparée de sa famille et s'est enfouie pour retrouver sa famille. Sa mère, une Doyle a épousé Patick McCabe, qui a été identifié père de Maria. Elle a eu, années passant des demis frères et soeurs.

A l'âge de quatorze ans, Maria part aux Etats-Unis pour suivre des cours d'art lyrique. Bea, une jeune dame d'accueil est prise d'affection pour Maria, jusqu'à réunir une grosse somme d'argent pensant pouvoir proposé à sa maman une opération par un imminent ophtalmologue aux Etats-Unis. Illusion la médecine ne pouvait rien contre la maladie de Maria.

Ce fut ensuite la tournée de chants en différents pays avec prix et succès à la clef..

Maria épouse un mormon de religion et français de Loraine. le couple a eu neuf enfants. Maria est très secondée par sa maman Eileen, qui fait le voyage Irlande - France lors des évènements de naissances.

Maria reste en symbiose avec la chanson encore vingt ans après son mariage. Elle compose et chante jusqu'à faire éditer un album.

Elle témoigne de son histoire par le livre et est même invitée dans le même but sur des plateaux de radios et de télévisions en France, en Belgique et même ailleurs. Touché par ses déclarations à la radio, j'ai acheté son livre, que j'ai relu deux fois avec grand plaisir.
Commenter  J’apprécie          20



Ont apprécié cette critique (2)voir plus




{* *}