Comme d'autres romans avec
Sherlock Holmes,
la vallée de la peur souffre un peu de la digression brutale aux États-Unis. Mais il faut reconnaître à ce récit dans le récit ses qualités : une belle atmosphère poisseuse d'une région minière, une bande d'une grande vilainie, une fin un peu prévisible mais digne d'un bon western, en somme un divertissement de haut vol. La première partie, portée par la figure de Holmes, est une enquête digne des plus courtes, comme d'habitude, bien construite et à la résolution élégante.
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