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Critique de ElBaathory
Qui dit nouveau label dit nouveaux livre-objets de toute beauté auquel, du fait ma faiblesse, je n'ai pu me résoudre et ai craqué pour la version brochée de cette première parution. Pourtant et du fait de son résumé, je craignais autant que j'attendais cette découverte qui m'a diverti sans pour autant me captivé pleinement.
Ce manque d'investissement provient avant tout du style de Kate Dramis qui sans se révéler dépourvu de charme, ne brille nullement pour son audace ni son ambition. L'auteure se contente de dévoiler un premier volet cousu de fil blanc et mainte et mainte fois usé et abusé. Néanmoins et malgré ce manque de surprise et de profondeur quant à l'élaboration de son univers, pourtant plaisant grâce à son système de magie et de hiérarchie ainsi que ses fidèles conflits politiques, il serait mentir de dire que je n'ai pas apprécié mon aventure. En bon public, The Curse of Saints se révèle une divertissante découverte qui remplit son rôle avec, peut-être, une trop grande simplicité. Amateur du genre, j'ai très vite cerné où souhaitait me mener la romancière et je n'ai été que trop peu surpris au cours de cette quête. Encore moins en milieu d'ouvrage où j'ai décelé quelques longueurs. C'est pourquoi, seules la première et la dernière partie des trois composant cette ouvrage m'ont davantage convaincu et maintenu mon haleine.
Pour le reste, j'ai le triste sentiment d'un remplissage constant alternant entre action et romance. Ce mélange des genre étant loin de me déplaire n'a que tout juste fonctionné du fait de la construction bien maigre du duo formé d'Aya et Will. Comme son monde, Kate Dramis se contente de peu dans le dressage de ses portraits et j'avoue que ce manque d'éléments ne m'a nullement aidé à m'attacher à l'un ou l'autre de ces fougueux et courageux combattants. J'ai donc suivi avec trop grande distance la tournure de leur relation et bien que possiblement mené, je suis resté sur ma faim une fois parvenue en bout de course. le traitement reste de mise en ce qui concerne les autres protagonistes plus ou moins secondaires qui, pour le moment, ne servent qu'à justifier l'intrigue et ses révélations. Des révélations qui, je l'avoue, m'ont davantage convaincu dans les dernières pages laissant entrevoir une suite plus haletante que cet premier aperçu et que je lirai à l'occasion même si ces dernières semblent un faible lot de consolation.
En somme, cette première incursion au sein de ce nouveau label se révèle une plaisante découverte même si je m'attendais à bien plus audacieux et captivant. Kate Dramis se contente de dévoiler une usuelle intrigue et de bien légers portraits pour me convaincre pleinement. Pour autant et sans avoir boudé mon plaisir de lecture de par sa simplicité, j'en attendais bien plus et j'espère être bousculé par la suite.
Ce manque d'investissement provient avant tout du style de Kate Dramis qui sans se révéler dépourvu de charme, ne brille nullement pour son audace ni son ambition. L'auteure se contente de dévoiler un premier volet cousu de fil blanc et mainte et mainte fois usé et abusé. Néanmoins et malgré ce manque de surprise et de profondeur quant à l'élaboration de son univers, pourtant plaisant grâce à son système de magie et de hiérarchie ainsi que ses fidèles conflits politiques, il serait mentir de dire que je n'ai pas apprécié mon aventure. En bon public, The Curse of Saints se révèle une divertissante découverte qui remplit son rôle avec, peut-être, une trop grande simplicité. Amateur du genre, j'ai très vite cerné où souhaitait me mener la romancière et je n'ai été que trop peu surpris au cours de cette quête. Encore moins en milieu d'ouvrage où j'ai décelé quelques longueurs. C'est pourquoi, seules la première et la dernière partie des trois composant cette ouvrage m'ont davantage convaincu et maintenu mon haleine.
Pour le reste, j'ai le triste sentiment d'un remplissage constant alternant entre action et romance. Ce mélange des genre étant loin de me déplaire n'a que tout juste fonctionné du fait de la construction bien maigre du duo formé d'Aya et Will. Comme son monde, Kate Dramis se contente de peu dans le dressage de ses portraits et j'avoue que ce manque d'éléments ne m'a nullement aidé à m'attacher à l'un ou l'autre de ces fougueux et courageux combattants. J'ai donc suivi avec trop grande distance la tournure de leur relation et bien que possiblement mené, je suis resté sur ma faim une fois parvenue en bout de course. le traitement reste de mise en ce qui concerne les autres protagonistes plus ou moins secondaires qui, pour le moment, ne servent qu'à justifier l'intrigue et ses révélations. Des révélations qui, je l'avoue, m'ont davantage convaincu dans les dernières pages laissant entrevoir une suite plus haletante que cet premier aperçu et que je lirai à l'occasion même si ces dernières semblent un faible lot de consolation.
En somme, cette première incursion au sein de ce nouveau label se révèle une plaisante découverte même si je m'attendais à bien plus audacieux et captivant. Kate Dramis se contente de dévoiler une usuelle intrigue et de bien légers portraits pour me convaincre pleinement. Pour autant et sans avoir boudé mon plaisir de lecture de par sa simplicité, j'en attendais bien plus et j'espère être bousculé par la suite.
