Très belle quête existentielle, sous forme de vagabondage sans fin à travers la nuit parisienne, un peu à la façon du Raphaël de Valentin de "
La Peau de chagrin"
De Balzac.
Si Drieu la Rochelle n'a pas davantage le sens de la métaphore qu'un auteur de roman de gare, la perdition de son personnage reste poignante.
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