>
Critique de Marylva
Lu et relu, Rebecca est assurément pour moi une oeuvre littéraire majeure !
Tout commence par une rencontre improbable entre une jeune fille de condition modeste, timide et effacée et un beau, riche et veuf lord anglais, Maxim de Winter, qui la demande en mariage. Elle devient ainsi la seconde Mme de Winter.
En poussant les grilles de Manderley, la magnifique propriété de Maxim de Winter, l'ambiance s'obscurcit peu à peu. L'atmosphère devient pesante car Rebecca, la première femme de Maxim de Winter, morte depuis un an, règne toujours sur le domaine. Rebecca était une femme très belle, une maîtresse de maison parfaite dont l'entourage ne cesse de chanter les louanges.
Comment la deuxième Mme de Winter, pourrait-elle rivaliser avec un tel fantôme ou même seulement l'égaler ?
Le texte est dense et précis. Les situations parfaitement décrites et les révélations distillées au compte-goutte s'enchaînent à la perfection et tiennent le lecteur en haleine d'un bout à l'autre du roman.
Tout commence par une rencontre improbable entre une jeune fille de condition modeste, timide et effacée et un beau, riche et veuf lord anglais, Maxim de Winter, qui la demande en mariage. Elle devient ainsi la seconde Mme de Winter.
En poussant les grilles de Manderley, la magnifique propriété de Maxim de Winter, l'ambiance s'obscurcit peu à peu. L'atmosphère devient pesante car Rebecca, la première femme de Maxim de Winter, morte depuis un an, règne toujours sur le domaine. Rebecca était une femme très belle, une maîtresse de maison parfaite dont l'entourage ne cesse de chanter les louanges.
Comment la deuxième Mme de Winter, pourrait-elle rivaliser avec un tel fantôme ou même seulement l'égaler ?
Le texte est dense et précis. Les situations parfaitement décrites et les révélations distillées au compte-goutte s'enchaînent à la perfection et tiennent le lecteur en haleine d'un bout à l'autre du roman.
