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Critique de montmartin
Si comme moi, vous avez des lendemains de fête difficiles, un conseil pour vous sortir de cet état semi-comateux, ouvrez le dernier roman de Jean Ducreux. L'effet est garanti, l'ami Jean va vous réveiller.
Dès la première page, le lecteur est littéralement happé et entraîné dans une aventure incroyable aux multiples rebondissements. Ne comptez pas sur moi pour vous raconter l'histoire, car un roman de Jean Ducreux ça ne se raconte pas, ça se lit ou plutôt ça se vit. Une sorte de James Bond dans le Forez. Vous n'avez pas le temps de reprendre votre souffle, à la suite de Tad, Loubna et Khaled vous voilà parti à la recherche de Colette Peysson. Comme toujours, le récit est parfaitement documenté, car Jean Ducreux est un érudit.
De l'Albanie à la Suède en passant par Saint-Étienne et sa banlieue, vous croiserez des méchants, des belles femmes, des trafiquants, des diplomates, des dealers, encore des méchants, les forces spéciales et toujours des méchants. Bien entendu, les balles sortent de partout, les cadavres aussi.
Jean Ducreux parsème son récit de clins d'oeil à ses amis, il est malin le bougre. Si je ne suis pas un lecteur assidu de ce genre de livre entre polars et romans d'espionnage, je dois dire qu'une fois de plus Jean Ducreux m'a bluffé.
Dès la première page, le lecteur est littéralement happé et entraîné dans une aventure incroyable aux multiples rebondissements. Ne comptez pas sur moi pour vous raconter l'histoire, car un roman de Jean Ducreux ça ne se raconte pas, ça se lit ou plutôt ça se vit. Une sorte de James Bond dans le Forez. Vous n'avez pas le temps de reprendre votre souffle, à la suite de Tad, Loubna et Khaled vous voilà parti à la recherche de Colette Peysson. Comme toujours, le récit est parfaitement documenté, car Jean Ducreux est un érudit.
De l'Albanie à la Suède en passant par Saint-Étienne et sa banlieue, vous croiserez des méchants, des belles femmes, des trafiquants, des diplomates, des dealers, encore des méchants, les forces spéciales et toujours des méchants. Bien entendu, les balles sortent de partout, les cadavres aussi.
Jean Ducreux parsème son récit de clins d'oeil à ses amis, il est malin le bougre. Si je ne suis pas un lecteur assidu de ce genre de livre entre polars et romans d'espionnage, je dois dire qu'une fois de plus Jean Ducreux m'a bluffé.
