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Critique de bdelhausse
Un tome en one-shot qui allie mystère et intrigue politique internationale.
On démarre avec une étrange jeune femme, diaphane et éthérée, de grande beauté. Elle fait tirer les cartes à un vieillard. Elle tire un 7 de trèfle et le vieillard une dame de coeur noire... Peu après il reçoit la visite de deux anglais. le maître lui extirpe le secret ultime des cartes, la "degradia", puis le tue.
Retour sur Giacomo C. qui ressemble à un clodo, mal rasé, puant, déjeté, pleurant son amour morte. Il se bagarre contre deux malfrats. Puis il est embauché par le Conseil pour battre aux cartes le même lord anglais du début, qui affole tout Venise en ruinant les bourgeois et les nobles les uns après les autres.
Il commence à gagner, puis perd tout et même sa souris fétiche. Dévasté, Giacomo part pour se suicider, mais il croise la jeune femme diaphane du début... qui lui fait tirer les cartes. Il tire un 7 de trèfle qui lui sauve la vie. Alors, il cherche à comprendre. Et il finit par atteindre lui aussi le secret de la "degradia" et va affronter Lord Winter...
C'est dense, avec un bon suspense, des états d'âme de Giacomo qui le rendent humain, mêlant les intrigues politiques de Venise et les enjeux internationaux (Lord Winter doit déstabiliser Venise), avec une nouvelle venue qui personnifie la Mort avec son jeu de carte où ne figure qu'un 7 de trèfle parmi 51 dames de coeur noires. Intriguant et plaisant.
On démarre avec une étrange jeune femme, diaphane et éthérée, de grande beauté. Elle fait tirer les cartes à un vieillard. Elle tire un 7 de trèfle et le vieillard une dame de coeur noire... Peu après il reçoit la visite de deux anglais. le maître lui extirpe le secret ultime des cartes, la "degradia", puis le tue.
Retour sur Giacomo C. qui ressemble à un clodo, mal rasé, puant, déjeté, pleurant son amour morte. Il se bagarre contre deux malfrats. Puis il est embauché par le Conseil pour battre aux cartes le même lord anglais du début, qui affole tout Venise en ruinant les bourgeois et les nobles les uns après les autres.
Il commence à gagner, puis perd tout et même sa souris fétiche. Dévasté, Giacomo part pour se suicider, mais il croise la jeune femme diaphane du début... qui lui fait tirer les cartes. Il tire un 7 de trèfle qui lui sauve la vie. Alors, il cherche à comprendre. Et il finit par atteindre lui aussi le secret de la "degradia" et va affronter Lord Winter...
C'est dense, avec un bon suspense, des états d'âme de Giacomo qui le rendent humain, mêlant les intrigues politiques de Venise et les enjeux internationaux (Lord Winter doit déstabiliser Venise), avec une nouvelle venue qui personnifie la Mort avec son jeu de carte où ne figure qu'un 7 de trèfle parmi 51 dames de coeur noires. Intriguant et plaisant.
