Elvira est riche, nièce d'un homme riche également, que Giacomo tape souvent pour une bourse. Autant alors aller à la source... et se faire un peu violence. Car elle est vraiment laide, Elvira, et elle refoule du goulot comme on dit. Gageons que la toilette intime est de la même odeur... Cela pouire dirait Monsieur Ouille...
Mais Giacomo a besoin d'argent pour sortir Angelina de prison, car elle a été condamnée à mort. On n'en doutait malheureusement pas un instant.
Tout comme le tome 7, on se cherche un peu (moins cependant). Et le ton est grave, même si on a un Giacomo en plein marivaudage. On a presque de la compassion pour ce séducteur qui doit ruser pour mettre un laideron dans son lit.
L'enquête sur les meurtres en série mène Giacomo et San Vere chez le Comte d'Alvisio. Pour protéger celui qu'elle pense à l'origine des meurtres, Angelina raconte alors son enfance à Giacomo. Un Giacomo usé, fourbu, pâle et tendu comme jamais. Désabusé, et aigri bien souvent.
C'est très bien vu. Très attachant et on a un point final (ou pas...) à un cycle débuté par le tome 4, le Maître et son valet.
Commenter  J’apprécie         30