Ce fut une belle prouesse que d'avoir tenu ces aventures de Lucius Murena jusqu'à ce tome 12.
Un moment, j'avoue avoir failli décrocher, craignant que la disparition de
Philippe Delaby n'affecte la série, il n'en fut rien car Théo l'a reprise avec fidélité et talent.
Violence, perversion, manipulations politiques et sentimentales, sexe c'est la grande tragédie des faiblesses humaines qui s'expose dans le cadre de l'empire romain.
Elle n'est même plus pondérée par la philosophie qui en devient une victime comme une autre.
Voilà maintenant, le temps de relire l'ensemble pour une nouvelle vision du travail superbe de
Jean Dufaux.
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