Citations sur Les meurtres zen, tome 2 : Des meurtres pour lâcher prise (17)
Je ne pense pas que nous puissions nous sortir de là sans commettre un meurtre en pleine conscience, déclara mon enfant intérieur.
(P347)
Tandis qu'avant Boris parcourait quotidiennement au minimum cent kilomètres dans une limousine Classe S, ses déplacements d'une cave à l'autre étaient désormais et depuis six mois entièrement neutres en carbone.
(P128)
Les détours :
Si le but c’est le chemin, alors chaque détour fait également parti du chemin vers soi même
Les énergies :
Ne gaspillez pas votre énergie en luttant contre un problème. Pour arriver à vos fins, servez vous de l’énergie du problème lui-même. Au lieu de vous barricader, ouvrez votre porte et laissez le problème foncer tout seul vers le mur le plus proche.
Réalisez vous-même vos rêves d’enfant. Si vous ne le faites pas pour vous, faites le au moins pour votre enfant intérieur.
Enfant, notre créativité était sans limite.
Nous vivons dans l'instant présent, sans a priori et en toute bienveillance. Quand nous avons besoin d'une oreille, nous avons besoin d'une oreille. Quand nous avons un autre problème, nous avons un autre problème.
[...]
Écoute Sacha, qu'est-ce que tu préfères : trancher toi-même une oreille à Boris ce soir ou t'en faire livrer une appartenant à un de ses crétins cet après-midi dans une petite boîte, en toute discrétion, par les hommes de Walter ?
Pour faire simple : nous avons six oreilles à notre disposition. Quatre inconnues et deux connues. Nous devons nous séparer de l'une d'entre elles. Que décides-tu ?
(P268)