L'histoire nous emmène dans un voyage initiatique sur le chemin du deuil. Grâce à de nombreuses images, il permet d'aborder la perte d'un grand-parent et la lente reconstruction, non sans douleur, qui suit. En fin d'album, Capucine retrouve un certain apaisement ; cette épreuve l'aura grandie. La dernière double page décrypte avec l'enfant les différentes allégories disséminées dans l'album. Je n'oublierai pas d'évoquer les splendides illustrations de
Juliette Barbanègre, que j'avais découverte dans Les musiciens de l'orage (l'un de mes albums coups de coeur l'an dernier). Une manière poétique de parler de la perte d'un proche, pour apprendre à la surmonter.
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