L'auteur brésilien
Ricardo Azevedo, dans les quatre contes qui composent "
Les trompe-la-mort", use d'une ancienne représentation de la mort : une figure voûtée portant un manteau noir et étreignant une faux ou s'appuyant sur une canne en os. La Mort fait des pactes étranges mais est souvent bernée à son tour et, à l'heure fatidique, toutes les ruses sont bonnes pour lui échapper, que l'on soit un homme pauvre devenu médecin, un humble ferronnier, une jeune homme en quête d'un lieu mystérieux ou un vagabond s'adonnant aux cartes, lequel finit même par berner le Diable... Des contes plutôt drôles des éditions Chandeigne.
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