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Critique de MarcelP


On le sait, Edwarson n'est pas un gai luron...

Erik Winter, son héros, que l'on avait laissé au fond d'une piscine espagnole en 2008 a mis quelques années pour remonter à la surface et nous le retrouvons traînant son spleen dans sa Suède natale et enquêtant sur un massacre à l'arme blanche.

Edwarson et Winter aiment le jazz : tout le roman est un hommage à Coltrane et son "A love supreme". L'arc narratif de "La maison au bout du monde" suit les 4 mouvements de l'album-concept de Coltrane : Reconnaissance, Résolution, Poursuite et Psaume.

Le style elliptique, poétique et syncopé d'Edwarson apporte beaucoup à son récit. Mais je dois avouer que j'ai trouvé l'ensemble particulièrement sinistre et parasité par de trop nombreuses incidentes inutilement encombrantes.

Si Winter a tendance à picoler, tout au long de ma lecture, j'ai eu l'impression de sortir d'une cuite.

Un peu d'humour pour le prochain ?
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