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Critique de Sayyadina
J'ai trouvé le résumé fort intéressant et la couverture me paraissait tout aussi intriguante, deux critères qui me permettent généralement d'acheter un livre ou de participer à un partenariat. Quand j'ai reçu le roman, j'ai été très intéressée par l'auteur qui est en fait un pseudonyme et qui est tout aussi intriguant qu'est le personnage d'Harold.
Harold ... Harold ... Personnage principal d'un petit roman mais je n'ai jamais vu un personnage principal s'exprimer si peu, c'est surement du au fait que Melvin est son contraire, un jeune garçon de 11 ans qui ne fait que parler, parler, parler, de tout et de rien, qui connait tout, enfin presque tout, il ne connait pas l'identité de son père et c'est là que commence une aventure plus que bizarre avec un gamin à l'imagination fertile (à chaque père, il décrit Harold et lui-même d'une autre façon et à chaque fois des plus bizarres). J'imagine bien ce gamin, je le visualise tellement bien que j'aurais été Harold, j'aurais eu les mêmes réactions que lui même si la tendance aurait voulu que j'abandonne le gamin sur un coin de route car par moment il peut être très agaçant.
Ce qui est bien chez Harold, c'est que ce n'est pas un héros, ni même un personnage principal comme on aime le voir, il fait partie des gens qu'on qualifie plutôt d' "anti-héros" qui est bizarrement une chose que j'ai souvent vue dans des romans d'auteurs allemands. Mais une autre chose que j'apprécie dans le roman, c'est que l'histoire se passe en Angleterre et s'est tellement bien décrit qu'on a l'impression que par moment l'auteur est anglais.
Je trouve que ce genre de roman n'est pas souvent mon genre mais de temps en temps, ça fait du bien de tomber sur ce genre "d'ovni", je retenterais peut être l'expérience avec cet auteur.
Lien : http://sayyadina.over-blog.c..
Harold ... Harold ... Personnage principal d'un petit roman mais je n'ai jamais vu un personnage principal s'exprimer si peu, c'est surement du au fait que Melvin est son contraire, un jeune garçon de 11 ans qui ne fait que parler, parler, parler, de tout et de rien, qui connait tout, enfin presque tout, il ne connait pas l'identité de son père et c'est là que commence une aventure plus que bizarre avec un gamin à l'imagination fertile (à chaque père, il décrit Harold et lui-même d'une autre façon et à chaque fois des plus bizarres). J'imagine bien ce gamin, je le visualise tellement bien que j'aurais été Harold, j'aurais eu les mêmes réactions que lui même si la tendance aurait voulu que j'abandonne le gamin sur un coin de route car par moment il peut être très agaçant.
Ce qui est bien chez Harold, c'est que ce n'est pas un héros, ni même un personnage principal comme on aime le voir, il fait partie des gens qu'on qualifie plutôt d' "anti-héros" qui est bizarrement une chose que j'ai souvent vue dans des romans d'auteurs allemands. Mais une autre chose que j'apprécie dans le roman, c'est que l'histoire se passe en Angleterre et s'est tellement bien décrit qu'on a l'impression que par moment l'auteur est anglais.
Je trouve que ce genre de roman n'est pas souvent mon genre mais de temps en temps, ça fait du bien de tomber sur ce genre "d'ovni", je retenterais peut être l'expérience avec cet auteur.
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