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Critique de Apache
Un roman gentiment déjanté. Ce que l'on imagine sans mal lorsque deux doux-dingues en léger décalage avec les codes sociaux en vigueur sont amenés bien malgré eux, à cohabiter toute une semaine.
Harold est un timide garçon grassouillet d'une cinquantaine d'années qui n'aime rien tant que la routine sécurisante de sa petite vie de célibataire.
Sa seule folie consiste à simuler son suicide de façon bi-hebdomadaire.
Melvin est un petit garnement qui se déclare génial et limite autiste, mais a surtout la langue bien pendue.
Il n'a pas son pareil pour river leurs clous aux adultes, toutes catégories confondues.
L'histoire est un peu légère mais l'écriture géniale.
On retrouve un sens de la formule allongée au vitriol qui n'est pas sans rappeler W.Boyd.
Harold est un timide garçon grassouillet d'une cinquantaine d'années qui n'aime rien tant que la routine sécurisante de sa petite vie de célibataire.
Sa seule folie consiste à simuler son suicide de façon bi-hebdomadaire.
Melvin est un petit garnement qui se déclare génial et limite autiste, mais a surtout la langue bien pendue.
Il n'a pas son pareil pour river leurs clous aux adultes, toutes catégories confondues.
L'histoire est un peu légère mais l'écriture géniale.
On retrouve un sens de la formule allongée au vitriol qui n'est pas sans rappeler W.Boyd.
