Warren Ellis et
Juan José Ryp s'essayent à l'hyper violence et y parviennent mais avec un adjectif. Ils ont créé l'hyper violence molle. Comme si Ben Laden s'était immolé par le feu dans le musée Grévin. Les dessins se veulent d'une dureté extrême par ce qu'ils veulent montrer mais finalement dégoulinent de traits asphyxiant la lisibilité dans un hyper graphisme qui frise quelquefois le remplissage naïf.
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