Je veux devenir Président parce que je vous hais. Je veux vous faire chier. Je veux vous faire fermer vos gueules et vous calmer. Je veux que vous viviez vos vies misérables sans déranger.
-Nous sommes en présence de mots incroyablement anciens provenant d'une race essentiellement étrangère. Ça devrait être plus compliqué que ça.
-Arrête, John. Même larynx, même structure pulmonaire. Dix doigts, menant naturellement à des mathématiques en base 10. On est semblables (...) Qu'est-ce qui te chiffonne ?
-Tu veux vraiment savoir ? Tu peux en dire très long sur une culture rien qu'en analysant son langage. Imaginons que nous sommes des extraterrestres décryptant un texte en Inuit. On découvre qu'ils ont cinquante et quelques mots pour "neige". Qu'en déduirait-on ?
-Qu'il doit beaucoup neiger chez eux. Je pige.
-Alors voilà. Pour l'instant, j'ai repéré 163 mots différents pour "meurtre".
Suis parti me suicider, de retour d'entre les morts vendredi. Nourris le chat.
L'amour d'Ellis pour la littérature et l'histoire, passé par le prisme de sa propre et étrange vision, le place aux côtés de son contemporain Alan Moore [...] Alors que tant de comics se rebootent, s'Ultimate-isent ou se Year One-isent en une frénésie masturbatoire, ces deux-là créent des univers aussi riches et étranges qu'on puisse l’espérer, à la fois curieusement familiers et complètement nouveaux. Ils sont les deux piliers des comics modernes.
Joss Whedon
[Captain America] Vous connaissez la Wunderwaffe, sergent ?
[sergent] J'ai entendu des histoires. De sacrés gadgets.
[Captain America] Wunderwaffe. "Les armes merveilleuses". Les allemands construisent de sales machines. C'est comme s'ils étaient en liaison avec l'Enfer et qu'ils commandaient leur artillerie directement aux boutiques du Diable.
Ils pensent, comme beaucoup de gens, que la peur suffira. Que la peur maintiendra tout le monde à sa place. Que la peur empêchera tout le monde de se concentrer sur ce qui se passe vraiment. [...] Je n'ai pas peur d'eux. C'est eux qui ont peur de moi. Ils ont peur de la vérité.
Nous entretenons des rapports étranges avec nos fictions ici. Parfois nous avons peur qu'elles se réalisent. Parfois nous aimerions qu'elles le fassent.
- [...] je suis restée chez moi pendant des semaines à travailler sur... ...je n'ai aucune idée de ce sur quoi je travaillais. À prédire l'avenir peut-être ?
- Je ne sais même pas si je peux faire ça. Mon Dieu, et si je m'étais effacé la mémoire en essayant ?
- Et si j'avais laissé ma mémoire dans le futur et que je devais la récupérer ?
J’étais d’une humeur plutôt paranoïaque surtout que la curetonne d’en face avait recommencé à clouer des belettes à ma porte.
On ne peut jamais se débarrasser complètement des réacs, quel que soit le nombre de capotes qu'on vende.