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Critique de jfdupontviel


Je clame haut et fort depuis longtemps, j'ai un faible pour les bouquins de RJ Ellory.
Je les ai tous lu. Dans ma PAL, son dernier : « Les fantômes de Manhattan ».


Mes attentes étaient assez basses pour ce roman : « Les fantômes de Manhattan » été écrit originalement en 2004. C'était seulement le deuxième oeuvre de Ellory à être publié dans sa langue original suite à « Papillon de nuit ». Je trouvais étrange que tant années soient écoulés avant que sa traduction française voit le jour. Aussi, sur le site de Goodreads, le pendant anglophone de Babelio, les notes des lecteurs annonçaient que ce bouquin n'était pas un de ses meilleurs .


Contre toute attente, j'ai (encore une fois) vraiment tombé sous le charme des personnages de Roger.


Les bouquins de Ellory se retrouvent souvent dans les sections polars des libraires alors qu'ils le sont pas tous vraiment. On parle plus d'histoire d'intrigue dans son cas. Ici, L'intrigue arrive très tard dans le bouquin. Auparavant, nous avons plutôt le droit à une simple histoire d'une jeune libraire, Annie O'neill, qui a 31 ans, possède une vie plutôt monotone et qui comme tout bons trentenaire solitaire, remet en question ses choix de vie. Orpheline, elle a peu connu ses parents. C'est son voisin, Sullivan, qui acte entant de confident à celle-ci. Un jour, un homme assez âgé, se prénommant Forester rentre dans sa bibliothèque. Il raconte à Annie qu'il fût un bon ami de ses parents et à travers un étrange manuscrit, il veut refaire vivre un club de lecture qu'il a partagé autrefois avec son papa.


Ce manuscrit nous est livré tout au long de l'histoire et parfois, j'avais plus de plaisir à le lire que les histoires de vie mondaine d'Annie et de ses amours. Plus je m'approchais de la fin, plus je me demandais comment les deux histoire allait se regrouper, parce que ceci était inévitable. J'aurais aimé que la conclusion soit différente par contre : Durant les dernières pages, Ellory nous amène haut en émotion. Et puis, là on redescend aussi vite que nous y sommes monté. J'aurais aimé le « happy ending ».


À lire ? : Oui, absolument. Encore plus si vous aimé les Ellory ou si vous avez grandi sans l'un ou vos parents.

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