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Critique de LoupAlunettes
Qui ne connait pas cette classique peinture de Raphaël, l'artiste italien de la Renaissance?
L'image est aussi reprise et détournée que la multiplication des Marilyn Monroe d'Andy Wharol, sur des produits de commercialisation. L'Art fera vendre bien au delà de son utilisation première.
Rendons grâce au thème et à la peinture d'origine des anges.
Le saviez-vous, ces Chérubins sont un bout d'oeuvre repris, le bas de la peinture de " La vierge de Saint Sixte" ( 1513-1514)? Nous aurions pu croire que le sujet des Chérubins en était le centre.
Par le biais de cette collection " Pont des arts" de l'éditeur l'Élan vert", les auteurs Géraldine Elschner et Frédérick Mansot détourneront à leur tour, avec une histoire inventée et inspirée du tableau, pour en créer un prolongement artistique et continuer d'en faire sa vraie promotion.
La littérature jeunesse sait vendre l'Art, pour aimer l'Art et aimer lire.
L'histoire sera amusante. Nos deux chérubins seront en réalité des anges gardiens, tous nus et tous joufflus qu'ils sont.
Ils veillent sur deux galopins partis ce matin capturer l'hiver avec un filet à papillon.
L'illustrateur Frédéric Mansot tiendra compte de l'époque de la Renaissance et nous y maintiendra avec ces deux personnages, Jean et Jeanne. Jeanne, blonde comme les blés, est coiffée à la manière des "Madones" peintes Raphaël.
La journée racontée sera comique et les auteurs seront très habiles.
Ils partiront en définitive de la particularité rousse des ailes des Chérubins, leur trouvant ainsi une raison et une origine avec leur histoire.
Non, avec Géraldine Elschner, ces ailes auront bel et bien été blanches à l'origine et l'anecdote fictive ne sera pas triste, voire même aussi tendre qu'une fesse d'angelot.
Comme le veut la collection, une partie explicative et documentaire sera consacrée à la fin au tableau.
On aime bien.
L'image est aussi reprise et détournée que la multiplication des Marilyn Monroe d'Andy Wharol, sur des produits de commercialisation. L'Art fera vendre bien au delà de son utilisation première.
Rendons grâce au thème et à la peinture d'origine des anges.
Le saviez-vous, ces Chérubins sont un bout d'oeuvre repris, le bas de la peinture de " La vierge de Saint Sixte" ( 1513-1514)? Nous aurions pu croire que le sujet des Chérubins en était le centre.
Par le biais de cette collection " Pont des arts" de l'éditeur l'Élan vert", les auteurs Géraldine Elschner et Frédérick Mansot détourneront à leur tour, avec une histoire inventée et inspirée du tableau, pour en créer un prolongement artistique et continuer d'en faire sa vraie promotion.
La littérature jeunesse sait vendre l'Art, pour aimer l'Art et aimer lire.
L'histoire sera amusante. Nos deux chérubins seront en réalité des anges gardiens, tous nus et tous joufflus qu'ils sont.
Ils veillent sur deux galopins partis ce matin capturer l'hiver avec un filet à papillon.
L'illustrateur Frédéric Mansot tiendra compte de l'époque de la Renaissance et nous y maintiendra avec ces deux personnages, Jean et Jeanne. Jeanne, blonde comme les blés, est coiffée à la manière des "Madones" peintes Raphaël.
La journée racontée sera comique et les auteurs seront très habiles.
Ils partiront en définitive de la particularité rousse des ailes des Chérubins, leur trouvant ainsi une raison et une origine avec leur histoire.
Non, avec Géraldine Elschner, ces ailes auront bel et bien été blanches à l'origine et l'anecdote fictive ne sera pas triste, voire même aussi tendre qu'une fesse d'angelot.
Comme le veut la collection, une partie explicative et documentaire sera consacrée à la fin au tableau.
On aime bien.
