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Critique de theliteraryvoyager
La Renaissance, la beauté des corps divins sculptés dans le marbre, l'Art classique à son apogée fascinent et inspirent les écrivains contemporains, comme un monde perdu auquel l'écriture permet de redonner vie.
En début d'année, j'ai lu "Pietra Viva" de Léonor de Recondo sur le séjour de Michel-Ange à Carrare en Italie, où il choisit minutieusement chaque pierre pour la sépulture que lui a commandée le pape Jules II. Un récit du deuil et de la création qui m'avait beaucoup touchée. Jai eu envie de retrouver cette atmosphère dans la lecture de "Parle-lui de batailles, de rois et d'éléphants" de Mathias Enard.
Dans ce court roman, Michel-Ange a fui Rome où il réalisait la fameuse sépulture de Jules II, pour rejoindre Constantinople. Dans cette ville aux confluents de l'Orient, il est missionné pour réaliser un pont. Fréquentant les tavernes et les musiciens, entre désirs assouvis et inavoués, l'artiste imprègne ses sens des énergies envoutantes de la ville pour imaginer ce monument urbain à la hauteur de sa civilisation.
J'ai adoré l'écriture polyphonique de Mathias Enard entre légende et poésie. C'est une plongée dans L Histoire et dans l'Art qui nous est offerte, à portée des mains rugueuses du sculpteur, de l'intendant Mesihi et d'une danseuse hypnotisante, à moins que ce ne soit un danseur... A vous de découvrir tous les mystères enchanteurs de ce petit bijou !
En début d'année, j'ai lu "Pietra Viva" de Léonor de Recondo sur le séjour de Michel-Ange à Carrare en Italie, où il choisit minutieusement chaque pierre pour la sépulture que lui a commandée le pape Jules II. Un récit du deuil et de la création qui m'avait beaucoup touchée. Jai eu envie de retrouver cette atmosphère dans la lecture de "Parle-lui de batailles, de rois et d'éléphants" de Mathias Enard.
Dans ce court roman, Michel-Ange a fui Rome où il réalisait la fameuse sépulture de Jules II, pour rejoindre Constantinople. Dans cette ville aux confluents de l'Orient, il est missionné pour réaliser un pont. Fréquentant les tavernes et les musiciens, entre désirs assouvis et inavoués, l'artiste imprègne ses sens des énergies envoutantes de la ville pour imaginer ce monument urbain à la hauteur de sa civilisation.
J'ai adoré l'écriture polyphonique de Mathias Enard entre légende et poésie. C'est une plongée dans L Histoire et dans l'Art qui nous est offerte, à portée des mains rugueuses du sculpteur, de l'intendant Mesihi et d'une danseuse hypnotisante, à moins que ce ne soit un danseur... A vous de découvrir tous les mystères enchanteurs de ce petit bijou !
