L'écriture, sobre (clinique), laconique, fragmentée est similaire à celle de «
La place », que je viens de terminer et que j'ai beaucoup aimé. Mais là où «
La place » racontait une histoire et dressait le portrait d'un père, par bribes, «
Les années » ne semble rien raconter, on a l'impression de lire une suite d'impressions, voire de micro-descriptions, sans autre but que de planter le décor d'une époque. J'ai arrêté en cours, sans histoire à laquelle m'accrocher. Peut-être aurais-je dû persévérer ?
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