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Critique de LoupAlunettes
Pour le coup, Michaël Escoffier nous étonne sur cet album.
Pas de farce et d'humour pied de nez, nous serons sur un ton plus sérieux.
Mais qui est ce fameux gardien des océans?
Le garde-côte, aurions envie de répondre rapidement, nous le voyons en 1ère de couverture, bien que l'on pense aussi que sa juridiction se limite à ses côtes et tout ce qui se trouve à la portée de son phare.
Gardien des océans, n'est-ce pas un peu titre ronflant pour un seul homme?
L'histoire va nous permettre de répondre à cette question par un épisode terrible sous un ciel d'orage, par une anecdote dont l'homme ne peut pas toujours revenir pour la raconter.
Les illustrations noires d'encre d'Antoine Guilloppé sont fortes et le genre graphique se prête parfaitement à ces contrastes violents entre ombres et lumière.
L'action est puissante et cet homme n'est que peu de chose, chahuté par la tempête.
La mer est d'une beauté redoutable et ambivalente.
Que peut-il faire face à cette nature déchaînée si il tombe à l'eau, notre homme?
Sans bateau, il n'est pas sirène pour contrer les remous à contre-courant, pour résister aux ressacs qui claquent et plaquent sous la surface.
Attention, le voici le gardien des océans dont parle le titre et la réponse sera étonnante.
L'auteur joue de nous entre faux-semblants et complète révélation.
Nous pouvons considérer que ce personnage qui entre en scène puisse, lui, se considérer maître en ces lieux.
Michaël Escoffier répondra à toutes nos interrogations en mettant en évidence finalement à la fin un cercle de dépendance qui justifiera que notre sauveur inattendu rende la pareille à notre homme, si lui-même joue son rôle dans cette association naturelle.
Il n'y a pas qu'un gardien des océans.
Nous glissons dans la métaphore et le titre prend alors un sens plus large sur un thème écologique qui est induit.
Les jeunes lecteurs pourront passer à côté de cette double-lecture, c'est possible, cela ne gâchera rien et ainsi profiteront-ils du grand suspens et de l'action excitante d'un sauvetage héroïque en mer.
Pas de farce et d'humour pied de nez, nous serons sur un ton plus sérieux.
Mais qui est ce fameux gardien des océans?
Le garde-côte, aurions envie de répondre rapidement, nous le voyons en 1ère de couverture, bien que l'on pense aussi que sa juridiction se limite à ses côtes et tout ce qui se trouve à la portée de son phare.
Gardien des océans, n'est-ce pas un peu titre ronflant pour un seul homme?
L'histoire va nous permettre de répondre à cette question par un épisode terrible sous un ciel d'orage, par une anecdote dont l'homme ne peut pas toujours revenir pour la raconter.
Les illustrations noires d'encre d'Antoine Guilloppé sont fortes et le genre graphique se prête parfaitement à ces contrastes violents entre ombres et lumière.
L'action est puissante et cet homme n'est que peu de chose, chahuté par la tempête.
La mer est d'une beauté redoutable et ambivalente.
Que peut-il faire face à cette nature déchaînée si il tombe à l'eau, notre homme?
Sans bateau, il n'est pas sirène pour contrer les remous à contre-courant, pour résister aux ressacs qui claquent et plaquent sous la surface.
Attention, le voici le gardien des océans dont parle le titre et la réponse sera étonnante.
L'auteur joue de nous entre faux-semblants et complète révélation.
Nous pouvons considérer que ce personnage qui entre en scène puisse, lui, se considérer maître en ces lieux.
Michaël Escoffier répondra à toutes nos interrogations en mettant en évidence finalement à la fin un cercle de dépendance qui justifiera que notre sauveur inattendu rende la pareille à notre homme, si lui-même joue son rôle dans cette association naturelle.
Il n'y a pas qu'un gardien des océans.
Nous glissons dans la métaphore et le titre prend alors un sens plus large sur un thème écologique qui est induit.
Les jeunes lecteurs pourront passer à côté de cette double-lecture, c'est possible, cela ne gâchera rien et ainsi profiteront-ils du grand suspens et de l'action excitante d'un sauvetage héroïque en mer.
