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Critique de Merleau
Il s'agit d'initier le jeune lecteur au jeu connu en France sous le nom de "pierre, feuille, ciseaux" ou "tchi, fou, mi" nom issu du japonais "hi, fou, mi" avec le sens de 1, 2, 3. Si en japonais, on a pris le nom de la formule dite avant de jouer, en chinois par contre on parle du jeu de pierre, ciseaux, tissu (石、剪、布). Notons qu'il existe une variante en Chine avec l'ajout du puits plus fort que les ciseaux et la pierre mais moins fort que le tissu.
Au départ de ce récit, après des pages explicatives du jeu, une souris invite le jeune lecteur à jouer avec elle et par un système de rabat, on trouve ce qu'elle a choisi comme signe. Une note originale et humoristique est ensuite de proposer à l'enfant de jouer avec un monstre. L'illustration est très sobre avec des couleurs un peu kitch qui plaisent aux enfants par leur dimension assez vintage.
Le texte est peu abondant, on compte près de 200 mots, avec forcément une douzaine de mots qui reviennent souvent comme notamment "pierre", "feuille", "ciseaux", "pour", "main", "montre", "derrière", "joue", "dos" … Avec la possibilité de s'aider de l'illustration, de façon autonome un enfant de niveau janvier de CP pourra comprendre le sens de la majorité du récit, même si quelques mots lui seront impossible à déchiffrer et même à deviner. Tout enfant goûtera au plaisir du contenu dû à Michaël Escoffier et Karine Bélanger.
Au départ de ce récit, après des pages explicatives du jeu, une souris invite le jeune lecteur à jouer avec elle et par un système de rabat, on trouve ce qu'elle a choisi comme signe. Une note originale et humoristique est ensuite de proposer à l'enfant de jouer avec un monstre. L'illustration est très sobre avec des couleurs un peu kitch qui plaisent aux enfants par leur dimension assez vintage.
Le texte est peu abondant, on compte près de 200 mots, avec forcément une douzaine de mots qui reviennent souvent comme notamment "pierre", "feuille", "ciseaux", "pour", "main", "montre", "derrière", "joue", "dos" … Avec la possibilité de s'aider de l'illustration, de façon autonome un enfant de niveau janvier de CP pourra comprendre le sens de la majorité du récit, même si quelques mots lui seront impossible à déchiffrer et même à deviner. Tout enfant goûtera au plaisir du contenu dû à Michaël Escoffier et Karine Bélanger.
