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Critique de Harfangblanc
Un grand roman d'aventures issu de la mouvance du roman colonial dont Jean d'Esme, français né en Indochine fut un acteur important. On pourrait dire que ce genre de roman était assez pulp. Beaucoup d'actions, d'exotismes, et, globalement des héros assez simple.
Les dieux rouges reste l'un des mieux travaillé jouant le mélange des genres avec des éléments fantastiques bien trouvé.
La mise en scène du roman est d'ailleurs bien campé et la méthode efficace (à défaut d'être originale puisque c'est l'effet "récit de seconde main").
L'ambiance est bien posé, la description de l'Indochine française instructive, que ce soit dans sa nature ou sa sociologie.
Pas sûr que je retombe de sitôt sur ce genre de romans, mais j'ai retenu le nom de Jean d'Esme, a bien des égards l'auteur a plus de qualité - et de vocabulaire - que certains modernes.
Les dieux rouges reste l'un des mieux travaillé jouant le mélange des genres avec des éléments fantastiques bien trouvé.
La mise en scène du roman est d'ailleurs bien campé et la méthode efficace (à défaut d'être originale puisque c'est l'effet "récit de seconde main").
L'ambiance est bien posé, la description de l'Indochine française instructive, que ce soit dans sa nature ou sa sociologie.
Pas sûr que je retombe de sitôt sur ce genre de romans, mais j'ai retenu le nom de Jean d'Esme, a bien des égards l'auteur a plus de qualité - et de vocabulaire - que certains modernes.
