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Critique de Kenehan
Après un tome 5 un peu calme, le tome 6 est un véritable déchainement d'action. La bataille entre les tueuses et les troupes de Crépuscule bat son plein dans ce tome et c'est encore plus épique que ce que l'on a pu voir dans les saisons précédentes.
Encore une fois, de vieux personnages reviennent, ils ont évolué et s'intègrent très bien à l'histoire. de nouvelles relations se mettent en place, les anciennes prennent parfois un tournant nouveau. Bref, la série n'est pas finie est ça se sent.
Je me souviens que la première fois que j'avais lu ce tome, j'avais ressenti une pointe de déception. Ca me gênait beaucoup ce passage où tout le monde abandonne la magie. Dans un certains sens, j'avais peur de la tournure des évènements dans le Buffyverse si toute magie disparaissait…
Maintenant, que je connais l'ensemble de la saison 8, ainsi qu'une partie de la saison 9, je relis tout cela avec un peu plus de recul et de sérénité.
J'apprécie donc un peu plus ce tome. Même si je ne suis pas fan d'absolument tout, j'avoue que globalement c'est un bon tome et l'intrigue avance ni trop vite ni trop lentement.
Et comme toujours, il y a pas mal de clin d'oeil à la série télé, notamment ici avec Andrew et sa caméra. Ce qui confère une bonne solidité à l'ensemble de la saison tout en l'intégrant suffisamment bien dans l'univers des tueuses.
Jo Chen continue a produire de belles couvertures et Adam Hughes m'a pas mal convaincu aussi. Des deux e-comics bonus qui s'ajoutent à la version anglaise ("Harmony Comes to the Nations" et "Always Darkest"), "Always Darkest" est le plus appréciable. Ce cauchemar yaoi de Buffy est non seulement écrit par Joss Whedon en personne mais illustré par Jo Chen dont j'adore le travail (je ne le répéterai jamais assez !).
Certainement un tome majeur à ne surtout pas manquer pour comprendre la suite (contrairement au tome précédent qui était un peu plus tourné vers des one-shot).
Encore une fois, de vieux personnages reviennent, ils ont évolué et s'intègrent très bien à l'histoire. de nouvelles relations se mettent en place, les anciennes prennent parfois un tournant nouveau. Bref, la série n'est pas finie est ça se sent.
Je me souviens que la première fois que j'avais lu ce tome, j'avais ressenti une pointe de déception. Ca me gênait beaucoup ce passage où tout le monde abandonne la magie. Dans un certains sens, j'avais peur de la tournure des évènements dans le Buffyverse si toute magie disparaissait…
Maintenant, que je connais l'ensemble de la saison 8, ainsi qu'une partie de la saison 9, je relis tout cela avec un peu plus de recul et de sérénité.
J'apprécie donc un peu plus ce tome. Même si je ne suis pas fan d'absolument tout, j'avoue que globalement c'est un bon tome et l'intrigue avance ni trop vite ni trop lentement.
Et comme toujours, il y a pas mal de clin d'oeil à la série télé, notamment ici avec Andrew et sa caméra. Ce qui confère une bonne solidité à l'ensemble de la saison tout en l'intégrant suffisamment bien dans l'univers des tueuses.
Jo Chen continue a produire de belles couvertures et Adam Hughes m'a pas mal convaincu aussi. Des deux e-comics bonus qui s'ajoutent à la version anglaise ("Harmony Comes to the Nations" et "Always Darkest"), "Always Darkest" est le plus appréciable. Ce cauchemar yaoi de Buffy est non seulement écrit par Joss Whedon en personne mais illustré par Jo Chen dont j'adore le travail (je ne le répéterai jamais assez !).
Certainement un tome majeur à ne surtout pas manquer pour comprendre la suite (contrairement au tome précédent qui était un peu plus tourné vers des one-shot).
