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Critique de carnetdelecture


Premier roman d'Albert Espinosa, Tout ce que nous aurions pu être… a, comme c'est souvent le cas, le défaut d'être un peu brouillon. Plusieurs thèmes sont abordés sans que l'on comprenne le lien qui les unit. Comme une suite d'objets que l'on aurait posé les uns à coté des autres sans logique.

La relation à la mère est le fil conducteur de ce roman étonnant. Une mère absente physiquement mais qui occupe sans cesse les pensées de Marcos. Marqué par le raisonnement original d'une mère artiste, il la cite à tout bout de champs, comme l'enseignement d'un sage.

Le sommeil et son absence occupe également une place importante en début de récit mais il sera pratiquement balayé à l'arrivée de cet étranger qui est l'occasion d'aborder la question du don que détient Marcos.

Un roman qui parle de la vie, des vies… mais qui m'a laissé un gout de peu. le récit se disperse en tous sens, sans jamais approfondir un sujet, ce qui laisse un sentiment de dispersion. Dommage.
Lien : http://carnetdelecture.skyne..
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