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Critique de Epictete
C‘est un roman qui se passe à Aurillac, ville bien calme et bien sage…
Une étude notariale, dirigée par deux frères, l'un notaire, et l'autre comptable, avec une ambiance bien poussiéreuse et bien pesante, comme il se doit « chez un notaire de province » (C'est une vieille image !), même si ce cercle abrite un certain nombre de personnages qui ont tous des intérêts propres : Une femme de notaire notoirement plus jeune et plus attirante que son mari, une fille de notaire.. un clerc plein d'envies, d'autres employés bien typés, etc.
Il est bien évident que ce milieu explosif ne peut que générer quelques accrocs dans le déroulement bien huilé de la vie de l'étude.
Le comptable avertit un jour le clerc que ses relations (pourtant encore bien sages) avec Sonia, la femme de son frère sont inacceptables et le menace de sanctions, à moins qu'il ne démissionne.
Or, le lendemain le comptable est retrouvé mort dans son lit. La piste du suicide semble privilégiée, confirmée par le médecin.
Pourtant l'inspecteur Lacaussade, envoyé pour les vérifications, a des doutes, bien qu'il n'ait aucune piste sérieuse.
Cependant, une série d'incidents concernant les autres personnages, jusqu'au suicide du notaire.
La police a de plus en plus de doutes sur le suicide du comptable.
Tout ceci n'est pas très bon pour François, le clerc licencié…
Une fois de plus, Charles Exbrayat sait nous conduire avec humour au fil de l'enquête vers des évidences erronées, à grand renfort de rebondissements, de mensonges et de coup de théâtre.
Et nous passons un superbe moment de lecture-détente.
Ça fait du bien, parfois.
Une étude notariale, dirigée par deux frères, l'un notaire, et l'autre comptable, avec une ambiance bien poussiéreuse et bien pesante, comme il se doit « chez un notaire de province » (C'est une vieille image !), même si ce cercle abrite un certain nombre de personnages qui ont tous des intérêts propres : Une femme de notaire notoirement plus jeune et plus attirante que son mari, une fille de notaire.. un clerc plein d'envies, d'autres employés bien typés, etc.
Il est bien évident que ce milieu explosif ne peut que générer quelques accrocs dans le déroulement bien huilé de la vie de l'étude.
Le comptable avertit un jour le clerc que ses relations (pourtant encore bien sages) avec Sonia, la femme de son frère sont inacceptables et le menace de sanctions, à moins qu'il ne démissionne.
Or, le lendemain le comptable est retrouvé mort dans son lit. La piste du suicide semble privilégiée, confirmée par le médecin.
Pourtant l'inspecteur Lacaussade, envoyé pour les vérifications, a des doutes, bien qu'il n'ait aucune piste sérieuse.
Cependant, une série d'incidents concernant les autres personnages, jusqu'au suicide du notaire.
La police a de plus en plus de doutes sur le suicide du comptable.
Tout ceci n'est pas très bon pour François, le clerc licencié…
Une fois de plus, Charles Exbrayat sait nous conduire avec humour au fil de l'enquête vers des évidences erronées, à grand renfort de rebondissements, de mensonges et de coup de théâtre.
Et nous passons un superbe moment de lecture-détente.
Ça fait du bien, parfois.
